CYCL'EAU TOULOUSE-OCCITANIE 2026
DU 25 AU 26 MARS 2026 - MEETT - PARC DES EXPOSITIONS ET CENTRE DE CONVENTIONS & CONGRÈS DE TOULOUSE MÉTROPOLE
24/10/2025
INTERVIEW PARTENAIRE : OLIVIER BIANCHI
Clermont Auvergne Métropole est partenaire de l’édition du Salon CYCL’EAU Clermont-Auvergne qui aura lieu les 5 et 6 novembre au Polydome de Clermont-Ferrand. Vous pourrez les retrouver sur le Village des Partenaires et lors des conférences institutionnelles.
Olivier BIANCHI, Président de Clermont Auvergne Métropole, s’est prêté au jeu des questions-réponses avec CYCL’EAU !
1/ Clermont Auvergne Métropole a accepté d'être partenaire de la première édition de CYCL'EAU Clermont-Auvergne qui se déroulera au Polydome les 5 et 6 novembre prochains. Pouvez-vous nous dire quelles ont été vos motivations ? Quelle importance accordez-vous à un événement professionnel de ce type dans votre région ?
L’eau est une ressource précieuse. En assurant son traitement et sa distribution sur une partie de son territoire, Clermont Auvergne Métropole et les 170 agents dédiés à ces missions agissent au quotidien pour la préserver et garantir aux habitants un service public de qualité.
Il est impératif d’agir face aux épisodes de sécheresse et de manière plus globale face au changement climatique. L’urgence d’opérer une transition est d’autant plus forte que l’eau est essentielle pour notre alimentation, pour notre santé, nos activités, mais également pour notre qualité de vie. La prise de conscience est unanime et le changement est engagé.
Consciente du potentiel de l’innovation face aux défis de demain, la Métropole continue de développer des solutions d’avenir sur son territoire. Être partenaire de la première édition de CYCL’EAU Clermont Auvergne qui aura lieu au Polydome est une occasion qu’il fallait saisir. Ce salon, comme celui de Vichy les années précédentes, permet de renforcer les liens et les collaborations entre les différents acteurs de l’eau et d’œuvrer pour le futur.
2/ La Métropole est pilote d'une conférence sur les eaux pluviales et les inondations. Quels messages souhaitez-vous faire passer au travers de ce sujet ?
Cette thématique est effectivement une thématique chère à la Métropole qui a validé son Programme d’Actions pour la Prévention des Inondations (PAPI) en décembre 2024 ; ce programme a été ensuite labellisé par la Commission Inondations Plan Loire cet été. Il a pour objectif de définir une gestion intégrée du risque inondation afin de réduire les conséquences de ce risque majeur sur la santé humaine, les bâtiments, les activités économiques et l'environnement et de travailler sur la culture du risque pour que chacun connaisse le risque inondation et sache réagir en cas de crise.
La Métropole a aussi validé en décembre 2024 une politique ambitieuse concernant la gestion des eaux pluviales et le ruissellement via le zonage d’assainissement eaux pluviales et les prescriptions associées qui privilégient la gestion à la parcelle et sont adaptées aux enjeux et à la densité d’urbanisation du territoire ; par exemple, tout raccordement dans les zones AU est interdit dans les réseaux unitaires ou pluviaux saturés dans un objectif de non-aggravation de la situation actuelle.
Le salon CYLC’EAU permettra lors de cet atelier de présenter différents aspects, contraintes et solutions déployées sur les eaux pluviales.
3/ Clermont Auvergne Métropole dispose de l'ensemble des compétences liées au cycle de l'eau : eau potable, gestion des eaux usées et pluviales, gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations, ainsi que la défense contre l'incendie. Pouvez-vous nous dire quel est l'état de la ressource sur votre territoire et quelles sont les grandes priorités qui se dessinent pour les années à venir pour sa préservation ?
Le dérèglement climatique génère des épisodes de sécheresse et de crue. Pour établir une stratégie « eau potable » sur le long terme, Clermont Auvergne Métropole a décidé de lancer, en 2020, son schéma directeur d'alimentation en eau potable (SDAEP). Les objectifs poursuivis étaient multiples :
Améliorer la connaissance du système d'alimentation en eau potable ;
Fournir une eau en quantité suffisante toute l'année et dans des conditions de desserte optimales et renforcer durablement la sécurité de l'alimentation en eau ;
Améliorer le rendement du réseau au-delà de 85 % ;
Améliorer la qualité de l'eau distribuée ;
Contribuer à la rationalisation de la gestion de l’eau à l’échelle de Clermont Auvergne Métropole, dans un souci de cohérence avec l’approche des collectivités et syndicats des eaux limitrophes (sécurisation, maillage, secours).
L’état des lieux des ressources a montré des ressources qui ont une certaine vulnérabilité du fait du dérèglement climatique ou de la dépendance au remplissage du barrage de Naussac, réserve d’eau en Lozère qui permet de soutenir le débit d’étiage de l’Allier et de la Loire. Le bilan Besoin – Ressources a permis de déterminer des actions à mettre en œuvre pour assurer la distribution d’une eau potable en quantité suffisante et de qualité en 2045.
Cela a été retranscrit dans un programme de travaux global établi sur une période de 20 ans et évalué à 150 millions d’euros HT (valeur 2023) permettant :
L’amélioration des performances : correspond aux travaux de renouvellement périodique des réseaux (avec un objectif ambitieux de 1,2 % du linéaire renouvelé par an), de recherche et réparation des fuites, de restructuration des ouvrages vétustes, de renouvellement des compteurs et d'automatisation de la relève… ;
L’amélioration de la sécurisation de la distribution : regroupe les études prospectives de recherche en eau, les travaux de mutualisation des ressources (interconnexions internes) et de renforcement de réseaux… ;
L’amélioration de la qualité de l'eau : correspond aux travaux relatifs au respect des références de qualité inscrites dans les textes réglementaires et au renouvellement sur l'usine d'eau potable.
Vous pourrez retrouver Clermont Auvergne Métropole :
Durant les 2 jours de salon sur le Village des Partenaires
Durant la conférence « Du ruissellement à l’inondation : évaluer les risques et trouver des solutions le mercredi 5 novembre à 9H30 - Espace Conférences
Durant la plénière institutionnelle le mercredi 5 novembre à 11H30 - Espace Conférences
Durant la conférence "Renaturer pour résister" le jeudi 6 novembre à 11h30 - Espace Conférences
24/10/2025
24/10/2025
INTERVIEW PARTENAIRE : BAPTISTE MARIE-CATHERINE
La Chambre de Commerce et Industrie du Puy-de-Dôme est un acteur économique incontournable pour les entreprises du territoire. Pourtant méconnu, le rôle de la CCI est pourtant primordial pour aider les entreprises à mieux gérer la ressource en eau.
Vous pourrez les retrouver durant les 2 jours de Salon de l’édition CYCL’EAU Clermont-Auvergne qui aura lieu les 5 et 6 novembre au Polydome de Clermont-Ferrand au Stand B2.
Baptiste MARIE-CATHERINE, Conseiller Eau & Développement Durable de la CCI Puy-de-Dôme Clermont Auvergne Métropole s’est prêté au jeu des questions-réponses avec CYCL’EAU !
1/ La CCI du Puy-de-Dome va participer à la première édition de CYCL'EAU Clermont-Auvergne qui se déroulera au Polydome les 5 et 6 novembre prochains. Pouvez-vous nous dire quelles ont été vos motivations ? Quelle importance accordez-vous à un événement professionnel de ce type dans votre région ?
A la Chambre de Commerce et Industrie, nous avons toujours été engagés sur les questions relatives au développement durable et à l’environnement. Ces dernières années, l’eau est apparue comme un enjeu prépondérant et la CCI du Puy de Dome a été pionnière et chef de file sur cette thématique. Nous croyons beaucoup aux retours d’expérience car il y a beaucoup de cas particuliers, de la part la typologie des entreprises que nous rencontrons et que nous accompagnons, ainsi que les enjeux inhérents à l’eau.
Un Salon comme CYCL’EAU qui est consacré à la gestion globale de la ressource, pour nous, est un très bon outil à la fois pour partager les meilleures pratiques, augmenter en compétences, rencontrer des nouvelles personnes et enfin, permettre d’anticiper les enjeux futurs ainsi que les solutions que les entreprises pourraient mettre en place.
2/ La CCI agit au service des entreprises, de l'économie et des territoires, que mettez-vous en place en faveur de la protection de la ressource en eau concrètement ?
Dans un premier temps, il a fallu connaitre les besoins et les acteurs économiques pour qui l’eau était un besoin stratégique. Lors d’une étude réalisée par nos soins, nous avons pu remarquer qu’un certain nombre d’entreprises s’inquiétait de l’état de la ressource, à la fois sur le long terme concernant la disponibilité de l’eau mais également sur les enjeux à plus court terme. En effet, là où la ressource viendrait à manquer, il y a des conflits d’usage et en tant qu’acteurs économiques, nous ne sommes pas prioritaires au regard des enjeux liés à l’eau potable. Nous avons alors identifié un enjeu réglementaire et un besoin d’anticipation fort.
L’eau est une ressource méconnue de la plupart des acteurs et petites structures pour qui ce n’est pas un enjeu économique fort et prioritaire, contrairement à l’énergie.
La CCI mène donc à la fois une étude et un diagnostic pour connaître le territoire et le besoin de nos entreprises ressortissantes pour pouvoir participer le plus efficacement possible aux politiques locales. Nous sommes participants au Collège des acteurs économiques des Commissions locales de l’eau et nous participons aux différents comités : Comité départementale de l’eau, groupes de travail de rédaction des arrêtés cadre sécheresse ainsi que des comités techniques et comités de pilotage avec les élus de la CCI sur les plans territoriaux de gestion des eaux et les études hydrologie milieux usages climat (HMUC) qui permettent d’anticiper l’évolution de la ressource sur les prochaines décennies ainsi que les scenarios de partage qui peuvent être faits.
Et enfin, nous avons un volet accompagnement, que ce soit par le conseil et la sensibilisation pour former et aider nos entreprises à gérer le plus efficacement possible la ressource, tant d’un point de vue quantitatif que qualitatif.
3/ Vous tiendrez un stand (B2) sur les 2 jours de salon, que souhaitez-vous dire au visiteur pour lui donner envie de venir vous rendre visite ?
Tout va dépendre du profil du visiteur.
Si c’est un particulier, nous sommes présents pour promouvoir l’industrie des acteurs économiques, parce que ce sont de beaux métiers, qui ont un vrai avenir notamment avec les enjeux de relocalisation. Cet enjeu doit être conciliant avec l’environnement, mais nous y croyons.
Si c’est une entreprise. C’est important de dire que des solutions existent et qu’elles reposent sur deux piliers : la sobriété et la diversification de la ressource. Il ne faut pas hésiter à se rapprocher de la CCI, puisqu’il y a tout un écosystème et une vraie expertise à la fois d’accompagnement mais également de fléchage vers les dispositifs les plus à même de faciliter les entreprises à accroître leur attractivité et leur compétitivité.
Vous pourrez retrouver la CCI du Puy-de-Dome Clermont Auvergne Métropole :
Durant les 2 jours de salon sur le Stand B2
24/10/2025
24/10/2025
INTERVIEW PARTENAIRE : LOIC OBLED
L’Agence de l’eau Loire-Bretagne est partenaire de l’édition du Salon CYCL’EAU Clermont-Auvergne qui aura lieu les 5 et 6 novembre au Polydome de Clermont-Ferrand. Vous pourrez les retrouver sur le Village des Partenaires.
Loïc OBLED, directeur général de l’Agence de l'eau Loire-Bretagne, s’est prêté au jeu des questions-réponses avec CYCL’EAU !
1/ L’agence de l’eau Loire-Bretagne a accepté d’être partenaire de la première édition de CYCL’EAU Clermont-Auvergne, les 5 et 6 novembre 2025 au Polydôme. Quelles ont été vos motivations ? Quelle importance accordez-vous à un événement professionnel de ce type dans votre région ?
La première mission de l’agence de l’eau Loire-Bretagne est d’accompagner les acteurs publics et privés dans leurs actions visant l’amélioration de la qualité de l’eau et des milieux aquatiques. Dans cet objectif de promotion d’une gestion durable, concertée et solidaire de la ressource en eau, l’agence de l’eau Loire Bretagne est naturellement partenaire de l’évènement professionnel CYCL’EAU Clermont-Auvergne qui vise à rassembler tous les acteurs de la gestion de l’eau au sens large, du petit cycle au grand cycle.
Notre volonté est de renforcer la sensibilisation, la mise en action et la coopération entre tous les acteurs concernés par les enjeux de l’eau sur le Massif central et plus largement sur l’ensemble du bassin Loire-Bretagne.
Les motivations de l’agence sont multiples :
Favoriser le partage des connaissances : CYCL’EAU constitue une plateforme privilégiée pour présenter les solutions existantes et émergentes en matière de gestion de l’eau, qu’il s’agisse d’alimentation en eau potable, de lutte contre les pollutions, de solutions pour économiser l’eau, ou encore de restauration des milieux aquatiques.
Encourager la mobilisation collective : la transition vers une gestion durable de l’eau nécessite l’implication de tous – collectivités, entreprises, agriculteurs, associations et citoyens. Un événement comme CYCL’EAU permet de fédérer ces acteurs autour d’objectifs communs.
Renforcer la visibilité des enjeux locaux : le Massif central, territoire clé pour la ressource en eau, fait face à des défis spécifiques (raréfaction de la ressource, qualité de l’eau, adaptation au changement climatique). CYCL’EAU offre l’opportunité de mettre en lumière ces enjeux et les réponses apportées par les acteurs de l’eau sur les territoires avec l’appui notamment de l’agence de l’eau.
L’agence de l’eau Loire-Bretagne considère que les événements professionnels de ce type jouent un rôle essentiel dans la diffusion des bonnes pratiques, la stimulation de l’innovation et la construction d’une culture commune de l’eau, indispensable pour relever les défis actuels et futurs.
2/ L’agence est pilote d’une conférence thématique sur les eaux pluviales et les inondations. Quels messages souhaitez-vous faire passer au travers de ce sujet ?
La gestion intégrée des eaux pluviales (GIEP) représente un enjeu majeur pour les territoires du bassin Loire-Bretagne, confrontés à une artificialisation croissante des sols. À travers cette conférence thématique, l’agence de l’eau souhaite transmettre plusieurs messages forts :
L’importance de désimperméabiliser les sols et de favoriser l’infiltration des eaux pluviales : la réduction de l’imperméabilisation des espaces urbains et périurbains (parkings, zones commerciales, voiries) est un levier essentiel pour limiter le ruissellement et favoriser l’infiltration naturelle des eaux pluviales. Les solutions fondées sur la nature (noues, bassins de rétention, renaturation) doivent être privilégiées et généralisées.
La nécessité d’une approche intégrée et anticipative : la gestion des eaux pluviales ne peut être dissociée des politiques d’aménagement du territoire. Elle doit s’intégrer pleinement dans les plans locaux d’urbanisme, les schémas de gestion des eaux pluviales et les stratégies de résilience climatique des collectivités.
L’importance de la concertation et de la co-construction : les solutions les plus efficaces émergent d’une collaboration étroite entre élus, aménageurs, gestionnaires de réseaux, scientifiques et citoyens. L’agence encourage vivement cette dynamique participative pour avoir des projets bien élaborés et bien appropriés
Cette gestion intégrée des eaux pluviales présente de nombreux co-bénéfices : amélioration du fonctionnement des systèmes d’assainissement par la réduction des eaux claires parasites grâce à leur infiltration, espaces de végétalisation qui peuvent devenir des zones fraicheur, augmentation des zones refuge de biodiversité et bien entendu la lutte contre les phénomènes extrêmes (sécheresse et/ou inondation)
L’agence de l’eau soutient financièrement les projets en matière de gestion des eaux pluviales. Ces investissements sont indispensables pour contribuer à l’adaptation des territoires aux changements climatiques.
3/ Concernant votre actualité, 2025 est une année charnière puisque vous avez lancé votre 12ème Programme. Pouvez-vous nous dire quel est l’état de la ressource sur votre territoire et quelles sont les grandes priorités qui se dessinent pour les années à venir ?
En 2025, l’état de la ressource en eau sur le territoire du bassin Loire-Bretagne, et notamment sur le Massif central, appelle à une mobilisation renforcée de tous les acteurs. En effet, le nouvel état des lieux, qui sera présenté aux instances de l’agence de l’eau d’ici la fin de l’année, présente une légère dégradation de la qualité de l’eau au niveau du bassin Loire-Bretagne et cette dégradation est plus marquée au niveau de l’amont du bassin.
La ressource quantitative est sous tension : les épisodes de sécheresse se multiplient et s’intensifient, entraînant des impacts sur la qualité des eaux et des milieux aquatiques et des restrictions d’usage.
Les défis persistent en matière de qualité de l’eau : malgré les progrès réalisés, certains cours d’eau restent affectés par des pollutions diffuses (nitrates, produits phytosanitaires) ou ponctuelles (rejets industriels, assainissement). Il y a un lien fort entre les enjeux quantitatifs et les enjeux quantitatifs, moins il y a d’eau plus la pression des polluants est forte.
Les milieux aquatiques sont fragilisés : la dégradation des cours d’eau et des zones humides, essentiels à la régulation du cycle de l’eau, nécessite d’agir.
Face à ces enjeux, le 12ème programme d’intervention (2025-2030) de l’agence de l’eau Loire-Bretagne fixe des priorités ambitieuses :
Préserver et restaurer la ressource en eau : réduire les prélèvements, généraliser les économies d’eau, restaurer les milieux naturels (zones humides, cours d’eau) et réfléchir au développement de solutions alternatives dans le respect du bon fonctionnement des écosystèmes.
Améliorer la qualité de l’eau : accompagner la transition agroécologique, renforcer le traitement des eaux usées, réduire les rejets de substances dangereuses et lutter contre les pollutions diffuses.
Adapter les territoires au changement climatique : soutenir les collectivités et les acteurs socio-économiques dans la mise en œuvre de solutions d’adaptation (gestion des eaux pluviales, économies d’eau, résilience des infrastructures).
Mobiliser et fédérer tous les acteurs : en accompagnant notamment des schémas d’aménagement et de gestion des eaux, en proposant des accords de territoires et grâce à une présence territoriale par ses délégations, l’agence entend impliquer l’ensemble des parties prenantes dans la gestion durable de l’eau.
L’objectif est clair : améliorer la qualité des eaux et des milieux aquatiques, conformément aux directives européennes, et garantir une eau de qualité pour tous les usages, tout en préservant les écosystèmes aquatiques et en renforçant la résilience des territoires face aux changements climatiques.
L’agence de l’eau Loire-Bretagne réaffirme, à travers ces orientations, son engagement en faveur d’une gestion équilibrée, solidaire et durable de la ressource en eau, au service des territoires et des générations futures.
Vous pourrez retrouver l’Agence de l’eau Loire-Bretagne :
Durant les 2 jours de salon sur le Village des Partenaires
Durant la conférence « Du ruissellement à l’inondation : évaluer les risques et trouver des solutions le mercredi 5 novembre à 9H30 - Espace Conférences
Durant la plénière institutionnelle le mercredi 5 novembre à 11H30 - Espace Conférences
Durant la conférence "Mieux comprendre le prix de l’eau, entre financement et acceptabilité sociale" le mercredi 5 novembre à 16h - Espace Conférences
Crédit photo : Crédit Stéphane Hussein
24/10/2025